Parler de la pluie et du beau temps au cinéma et puis très vite, finir par flinguer le second. Ne reste plus alors que ces fines gouttelettes qui se déversent sur les films d’animations. Il n’y d’ailleurs bien que dans ce format que la pluie forme de si jolis ronds lorsqu’elle frappe le sol.
Pour le reste, avez-vous remarqué combien elle n’est qu’averse et déchainement.
Violence ou apothéose.
A rompre ainsi le silence, la pluie n’est jamais le prétexte d’un vide scénaristique, mais bien l’antichambre d’une angoisse qui vient.
A croire que le temps qu’il fait par-dessus le film qui passe, reste l’un des rôles majeurs que personne n’a jamais pensé à récompenser. Même lorsqu’elle en est le sujet principal.
Cette triste pluie … qu’un simple baiser efface.